Dans le cadre de la journée mondiale de l'Environnement, nous avons pu assister hier soir à un évènement d'ampleur internationale...
Le film "HOME" de Yann ARTHUS-BERTRAND a été diffusé sur France 2 mais aussi à Paris et dans différentes villes sur grand écran ...
Diffusé dans 126 pays (Glenn Close assure les commentaires en anglais et Salma Hayek en espagnol), ce plaidoyer retrace l'histoire de la planète et de l'humanité en jouant sur l'opposition entre la beauté des images tournées du ciel en haute définition et la gravité des menaces qui pèsent sur la Terre. D'un côté, une mère ourse craquante qui sort de l'eau, suivie de ses deux petits ; de l'autre, la fonte de la calotte glacière qui promet d'entraîner des dérèglements en chaîne.
Même les images de sites pollués sont d'une splendeur à couper le souffle. «La beauté crée de l'émotion et fait réfléchir, explique Yann Arthus-Bertrand. Le message porté par ce film est extrêmement important, car il met en évidence la question de la survie. Sans nous en rendre compte, molécule après molécule, nous avons bouleversé l'équilibre climatique de la terre.» Et d'insister sur l'urgence de la situation :
Même les images de sites pollués sont d'une splendeur à couper le souffle. «La beauté crée de l'émotion et fait réfléchir, explique Yann Arthus-Bertrand. Le message porté par ce film est extrêmement important, car il met en évidence la question de la survie. Sans nous en rendre compte, molécule après molécule, nous avons bouleversé l'équilibre climatique de la terre.» Et d'insister sur l'urgence de la situation :
«Il ne reste plus que dix ans à l'humanité pour inverser la tendance».
Des parrains célèbres, dont Al Gore, Prix Nobel de la paix et auteur d'Une vérité qui dérange, ont apporté leur caution scientifique au film. Mais Yann Arthus-Bertrand s'est heurté à l'hostilité de certains pays, dérangés par sa caméra inquisitrice. La Syrie et Dubaï n'ont pas souhaité lui ouvrir leurs frontières. L'Inde a conservé la moitié de sa pellicule et la Chine a levé sa censure in extremis. L'Argentine l'a retenu une semaine sous un prétexte fallacieux. Preuve que le photographe écolo met souvent le doigt là où ça fait mal.
Le film étant libre de droits, vous pouvez le visionner gratuitement en vous connectant sur ce site :
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